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Cultures numériques

Cours de Bachelor 1

Musique Noise avec un chat et un t-shirt

Océane de Thuret - Paul Caprasse

Entamé le 27 Novembre, notre deuxième Workshop pour Cultures Numériques s’articulait autour du son et du textile. Créer des amplificateurs et des enceintes à base de fils de cuivres et le mélangé autour d’un métier à tisser, de gobelet de café (entre autre) et d’autres joyeusetés.

Le premier jour s’est passé avec une mise en bouche "culturelle" tournant autour de l’utilisation de ces techniques diverses. Portés par divers artistes, vidéos et photos, la fin de la journée s’est profilé avec un exercice "individuel" (bon nombres d’entre nous s’est tourné vers un petit groupe, c’est d’ailleurs ce même jour que nous formerons notre duo) où à base de matériel apporté par les deux enseignants qui nous suivront pendant l’espace de quatre séances, nous devions faire notre petit ampli de cuivre et de tissu. Celui-ci, si fonctionnel, devait en étant accompagné d’un aimant en forme de bille et d’un son au préalable envoyé par un autre amplificateur jusqu’aux deux extrémités du fil de cuivre, sortir une légère sonorité.

Océane a créer en grande partie de son coté un gobelet ornée par une fleur de cuivre. Nous aurions voulu la tester lors de la séance du 4 Décembre, mais, il nous manquait une extrémité du fil de cuivre, perdu dans les méandres du
tissu. Après cet échec, nous apprenons par le biais de nos deux professeurs que notre groupe va se lancer dans la conception d’un projet à base de textile et de son. C’est donc à cette dite séance que nous nous sommes lancés à deux dans une séance live d’un groupe imaginaire surnommé "Pas Michel".

"Pas Michel" est le nom d’un projet musical d’un personnage d’une histoire créé lors d’un travail pour notre cours de Narration (un Fanzine qui nous fallait rendre en fin de quadrimestre). Nous sommes donc, sauté sur l’occasion pour exploiter le filon. Le projet étant expérimental et tirant base d’une musique "Noise" accompagné de miaulement de chat. La contrainte était donc de meler ce projet avec la partie "textile".

Lors d’un visionnage d’un exemple d’un projet, d’ une femme se baladant avec une robe qui est relié à un micro contact, le tout est apparu comme une évidence. Nous sommes donc parti d’un t-shirt sur lequel nous avons peint à la bombe un chat.

Etions tous les deux malades lors de la troisième séance, notre travail du, malheureusement s’écourter. Pas de retour possibles, pas d’avis sur le projet autre que lors de l’explication de celui-ci le 4 Décembre. Nous nous sommes lancés dedans corps et âmes et avec beaucoup d’humour. Le projet peut être vu comme prit à la légère, ou comme le vilain petit canard, mais nous trouvons que celui-ci rejoint certaines idées vu en cours. Même si ne portant tellement de message, et faisant surtout office de support pour un autre projet, il en ressort plus une expérience amusante et bigarrée que d’un énième amplificateur en cuivre respectant à la lettre les consignes établies lors de notre première séance.




La "musique" a été réalisée avec les outils suivant : Un mixer à cinquante euros court-circuités par des câbles patchs se reliant entre les différentes sorties. Une de ces sorties était lié à une pédale d’effet Fuzz qui était elle-même relié au micro-contact réalisé de manière artisanale. Le micro-contact a après été attaché au T-shirt. Nous sommes parti d’une vidéo de chat trouvé sur Youtube pour les miaulements. Le tout a été expérimenté en live et a été réalisé dans une salle avec une acoustique médiocre donnant un effet d’écho plus que favorable pour le rendu du son.

Par , 11 janvier 2018