Dat-a fiction
Internet proposes moultes services gratuits et accessibles à tous, mais la plupart en propose en échange d’une monnaie particulière, c’est à dire vos données personnelles.
Qu’est cette manne enviée par les géants du web ? A quoi peut-elle bien servir, que dit-elle de nous ? Représente-t-elle notre réelle personne ou juste un simple reflet déformé par grand nombre de facteur extérieur ?
Cet article à été écrit par : Jérémy lutje Spelberg
Par divers moyens, comptes en lignes, Cookies, applications ou historique de recherches, des serveurs stockent ainsi un nombre astronomique d’information nous concernant qui sont gérés par des algorithmes. Ceux permettent de former des bases de données qui peuvent vendues le plus souvent au privé pour êtres utilisés à divers fin.
D’un point de vu numismatique, elles sont devenues le plus grand capital que peuvent bénéficier les entreprises qu’ils peuvent dès lors employer leur communication et leurs équipe en marketing sur des public cibles extrêmement précis qui deviennent malheureusement produit d’un services gratuit.
Dès lors on parle d’avantage de marketing ciblé a votre profit dans le but que le produit qu’on veut vous vendre soit le plus à votre gout mais surtout à vos habitudes, celles ci peuvent êtres très tentant de se voir les conforter.
Plus embêtant cette fois, elles utilisés pour les campagnes électorales. En effet, les politiques puisent aisément dans banque de données afin de pouvoir cibler l’électorat parmi la population, de définir qui sera ceux qui pourront être convaincu à voter et ceux qui ne le seront pas. Cette pratique visant à contrer l’abstention peut consister envoyer des conseillers à la porte des citoyens avec des discours adaptés au profil des personnes. C’est notamment grâce a cette pratique qu’Obama a pu se faire réélire pour un deuxième mandat.
Une pratique qui tente de caresser dans le sens du poil et qui promeut une démarche assez conservatrice vis à vis des partis, ne cherchant plus qu’a gagner des élections.
On peut néanmoins dénicher un tas d’information sur les populations qui sur lesquels on peut puiser un tas d’études sociologique comme du fait que les conducteurs font plus d’accident lorsqu’ils conduisent une voiture rouge. Mais les assurances ne se contentent que de faire d’avantage de répressions sur les assurés afin de rembourser les moins possibles. Avec l’aire du tout connecté, Elles pourraient surveiller toutes nos habitudes de vie, comme le contenant de notre frigo qui un peut être relié un jour au réseau, et trouver prétexte à ne pas vous indemniser à l’avenir. Une dépressive s’est vu refusé ses remboursement de soin car son assurance à vu une photo de vacances sur le mur facebook de ses parents et à jugé qu’elle n’était pas dépressive dessus.
Ce qui nous fait alors nous interroger sur la nature du profil récolté par cette base d’internet, est elle totalement représentative de nous ou bien est elle une partie infime de notre vie qu’on montre ?
Certain se sont donc mis à créer des fausses identités, Tel Timo Klok écrivant un article bidon sur Wikipédia intitulé Timopédia, facial weaponization de Zach Blas consistant l’emploi de masque pour se cacher les visages des capteurs faciaux. D’autres ont même tenté de nous montrer de façon ludique les enjeux avec Yoogle, une sorte de jeu de l’oie électronique nous mettant dans la peau de soit un usager, soit d’un administrateur, d’une entreprise ou encore même un état dans un avenir usant de ces données. Jeu crée par Nicolas Malevé et Michel Cleempoel.
Pour ma part j’étais déjà au courant de tous cela il y a cela deux ans, cela m’as un peu inquiété sur le sujet de la vie privée et de la confidentialité, heureusement qu’il y a un grand nombre de fichiers qu’il serait trop couteux pour la plupart des les exploiter de façon précise sans en débourser les moyens. Et puis de façon j’utilise de moins en moins Facebook et certaine pub peuvent etres masqué par Adblock.
En partant de tout ça, il nous fallu extraire des données digitales, par exemple ma base de données de mon compte Facebook, d’analyser leurs contenus et d’en faire une fiction à partir de tout cela. Jai donc décidé de faire une carte mentale des sujets publicitaires déployés sur mon compte Facebook, en prenant bien soin d’hiérarchiser le contenu.
On y trouve plusieurs grande catégories, en fluo, des sous catégories, en orange, et des ramifications en vert. Toutes ces informations sont regroupées en mots clés. Il y a des informations sur les journaux suivis, les murs de plusieurs chaines Youtube, groupes de musique rock et le mur d’une convention annuelle. Le mot Squat s’y trouve pour la raison d’une photo de moi postée alors que je fus victime de luxation de la rotule gauche, mieux vaut dès lors ne pas trop exposer vos problème de santé sur Facebook sous peine de recevoir des publicités à ce sujet. Certain sujets peuvent se rejoindre comme par exemple ceux des chaines vidéastes et celle de la convention sous l’appellation Geek.
D’autre sujets sont plus nébuleux, ils doivent êtres sans doutes soit rétribuées par des annonceurs comme pour le cas de Domino’s Pizza, soit êtres classifiées selon des donnée basiques, comme le sexe ou l’âge, pour le cas particulier de l’association de football. Ce genre d’annonce peut s’annoncer un peu trop déterminant pour les individus, surtout les plus jeunes car elles peuvent conforter certains préjugés hâtifs en se basant sur le fait que vous soyez jeune ou vieux, homme ou femme etc.
Ce travail consiste dès lors la prise de conscience de la facilité d’un profilage particulier de votre personnalité d’internet, qu’avec ne serait de simples ramifications et d’une carte mentale on peut établir les affinités d’une personne. De réfléchir consciencieusement ce que vous postez, aimez ou partagez sur les réseaux sociaux sous peine de trop vous dévoiler.