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Le workshop consistait à porter un regard nouveaux sur les données du net. En nous proposant des moyens pour les récolter (Facebook, dataselfie pour google chrome, google map,...) Stéphanie et Pascale nous ont offert la possibilité de s’engager dans une recherche approfondie sur les données.
Nous avons compris dans un 1er temps qu’il est impossible de se balader sur le net sans dévoiler notre identité. Celle-ci est un matériel précieux que nous offrons et partageons trop facilement (ex : pour consulter des profils sur Linkedin, il est obligatoire de s’inscrire en fournissant nos données.)
Cependant, il est libre à nous de se créer une fausse identité.
Dans un 2e temps, nous avons pu nous rendre compte que peut importe le site web utilisé, nous sommes constamment tracée sans forcement le savoir (ex : Google map, nos recherche et nos positions sont enregistrées dans des banques de données.)
Par ailleurs, nos données ont une matérialité physique de même qu’au point de vu virtuel. C’est à dire qu’à titre de stockage, nos données sont répertoriés dans des "hangars" et prennent énormément de place. (ex : il est fortement conseiller de nettoyer régulièrement votre boîte mail pour éviter ce stockage inutile. (réchauffement climatique)
Ensuite, nous avons vu comment récupérer nos données personnels, soit à partir d’application prévu à ce sujet, soit sur un site. Néanmoins il est impossible d’obtenir les droits suprême de confidentialité, une copie nous est seulement envoyé. De plus, la récupération des données peuvent prendre un temps important en fonction de la taille du fichier demandé.
Enfin, il est important de savoir qu’au plus nous sommes affiché sur les réseaux
sociaux, qu’au plus notre intimité et a fortiori notre liberté est restreinte. Par exemple, notre potentiel employeur pourrait se servir de nos comptes Facebook ou Linkedin,.. afin de porter un jugement extérieur à ce que notre CV lui offre et cela nous porterait à préjudice.
Pour conclure, nous avons déduit de ce workshop, qu’il était important de prendre en considération l’enjeux dans lequel nous engageons notre personne et notre privacité avant de fournir nos données. De fait, si nous faisons pas attention, notre liberté et notre intimité seront en danger.
D’abord, nous avons porté notre sujet d’étude sur les données Facebook en extrayant les données de Zoé en selectionnant quelques dates qui nous paraissait intéressante. Ensuite, l’idée principale c’était de sélectionner sur cette date l’historique personnel de Zoé, un champ lexical précis, ajouté à l’instar de processing à chaque mot clé. Le but étant de créer un nouveau profil à partir de notre quatre personnalités.
Toute fois, nous avons abandonné l’idée car la récupération de chaque compte aurait pris trop de temps. De ce fait, nous avons gardé l’idée de combiner nos quatre personnalités mais à partir de quatre réseaux sociaux différents qui nous correspondent chacune individuellement. (Zoé -> Facebook, Kao -> Instagram, Maud G. -> Pinterest, Maud H. -> Youtube)
Nous avons choisis comme sujet principal le "j’aime, je n’aime pas".
C’est en effet un élement commun à ces réseaux sociaux qui nous intéressait à l’apparence anodine est en réalité lourd de sens. Notre projet s’est donc porté sur un travail individuel qui consistait à collecter plusieurs données historiques de j’aime des différents réseaux sociaux que nous avons choisis de chacune entre nous pour en créer une video.
https://youtu.be/t75FqNtiRXI
https://www.youtube.com/watch?v=t75FqNtiRXI&feature=youtu.be