Liste et catégories (non exhaustives) de mèmes
La définition du mème est large, c’est un élément culturel au sens large qui est dupliqué. Un selfie est un mème minimal, puisqu’il s’agit de produire une image sur base d’une procédure balisée. Le hashtag de tweeter a dépassé l’application pour devenir un mème signifiant en soi qu’on associe un signe à une thématique plus générale, que ce soit de manière politique (#balancetonporc) ou ironique (#journeedemerde).
Et donc, si n’importe quoi peut être un mème, il existe cependant des formes qui se répliquent, des formes mémétiques, donc. En voici quelques unes.
Image fixes
La base du mème, le plus facile à produire, d’autant qu’il existe plusieurs formes canonique dont l’image sur laquelle est placée un texte en police "Impact" avec un filet.
Côté image, on va trouver quelques images qui ont eu, ou ont le heure de gloire.
Côté usage, quelques exemples :
Signalons aussi les démotivators, forme de poster déprimant à la forme mémétique.
Articulations entre plusieurs images
On peut associer plusieurs images et du texte. Le plus simple est une association de deux images, soit sous la forme d’un avant-après, soit sous la forme de dialogue, soit sous la forme problème-solution.
Autre forme, la liste de points de vue : "what my parents think i do".
Le gif animé
Le gif est le plus vieux format de compression d’image. Sa version patentée en 1989 permet de placer dans le fichier plusieurs images et de leur donner un temps d’apparition et les mettre en boucle. C’est le Gif animé. Plus léger qu’une vidéo, il a failli disparaitre avec l’apparition de Flash, mais, ironie de l’histoire de l’informatique, il lui a survécu et retrouvé une forte popularité avec les réseaux sociaux.
Vidéo
Un exemple connu, le pastiche d’une scène de "La chute".