Cultures numériques

Introduction
Dans le cadre du cours de culture numérique nous avons été amenés à participer à plusieurs workshops. Nous avons donc assisté à un workshop sur les microcontroleurs !
Durant ces différents workshops nous avons essayé de comprendre ce qu’était un microcontroleur, nous nous sommes rendus compte qu’ils étaient partout ! On en trouve dans les portes automatiques, les alarmes, dans les appareils électro ménagers, par exemple une automobile de milieu de gamme est équipée d’au moins 50 microcontroleurs !

comment fonctionne t-il ? Composant autonome, fonctionnant de manière algorithmique, le microcontroleur reçoit une information d’un ou de plusieurs capteurs qu’il renverra au moteur pour déclancher l’action. C’est le moteur (ou actionneur) qui transformera l’information, l’énergie électrique, en phénomène physique.

Plusieurs artistes on notamment travaillé avec des microcontrôleurs ou en s’inspirant de leur processus. Sol Lewitt ou Toni Orrico se sont basé sur des procédures algorithmiques dans leurs œuvres , le résultat plastique est dépourvu d’émotion.

Toni Orrico va répété des mouvements en traçant des lignes qui vont créer un dessin, son corps servira de microcontrôleur

Sol Lewitt ne fait qu’élaborer le concept de chaque oeuvre, ses assistant s’occupent de la mise en forme. Pour ’’incomplete open cube" il choisit le cube qu’il va mettre en jeu dans toute forme de combinaisons : progression, permutation, inversion. tous ces cubes existent en tant qu’élément singulier d’un ensemble de variations.

Afin de comprendre leur fonctionnement nous avons réalisé plusieurs exercices comme des mises en scène ou nous simulions une machine, chacun de nous jouait un rôle de microcontrôleur d’actionneur ou de capteur. On a réalisés un shéma et des dessins expliquant le fonctionnement de cette machine.
Puis nous avons du réfléchir à un système, une invention utilisant un microcontrôleur. Les personnes engagées, concernées biologiquement et écologiquement que nous sommes, ont pensé à un système de compostage intelligent.

Le fonctionnement du TERROCOP 3000

Tout d’abord, pour pouvoir utiliser TERROCOP 3000 vous aurez besoin d’aliments à composter (bien regarder les aliments qui peuvent et ne peuvent pas être compostés avant l’utilisation)

Lorsque vos aliments sont prêts à être composter, vous pouvez appuyez sur le bouton OPEN pour faire ouvrir le clapet du compost puis le refermer manuellement lorsque les aliments sont introduits.

Ensuite, vous allez appuyer sur le bouton START pour faire démarrer le processus de compostage.

Lorsque le capteur a capté que les aliments étaient déposés et qu’il pouvait commencer le processus de compostage le broyeur va se mettre en route.

Le broyeur peut commencer à broyer les aliments.

Lors de cette étape, il se peut qu’il n’y ai pas assez d’eau ou trop d’eau, un capteur va nous en signaler grâce à une lumière rouge qui clignotera pour vous avertir. Il se peut que ce soit le même problème avec le taux d’acidité. Si c’est trop acide, il faudrait rajouter des feuilles, si ce ne l’est pas assez, un fruit ou un légume. Si il n’y a pas assez d’air, activez le moulinet de ventilation pour permettre d’avoir plus d’oxygène.

Lorsque le TERROCOP 3000 avère que les aliments sont assez broyés et décomposés ils se déposeront dans un petit récipient tout en dessous du compost où vous récolterez le terreau.

Pour finir, si le récipient est plein le TERROCOP 3000 fera un beep de signal pour vous avertir qu’il est plein.

Sortir le terreau et l’utiliser pour planter des légumes/fruits/fleurs.

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Nous avons choisi d’utiliser uniquement nos corps pour réaliser cette performance. Nous avons crée une chorégraphie qui imite le fonctionnement de notre composte. Chaque personne représentait des déchets compostable tournant dans l’espace et se décomposant au fil du temps jusqu’a se transformer en terreau